Me voici me voilà après une absence sur le forum de....de...aaaahhhh de beaucoup de trop de temps je m'en veux terriblement...-se frappe-. :'(
Pour me faire pardonner je suis en pleine écriture d'une fiction! Je sais pas si mon petit cadeau suffira....-je n'en suis pas sûre
- !
Auteur: Moi! -Shin Hee Rin sur le site fanfic.fr :3-
Genre : Romance/Yaoi (hxh)/Amité/Lemon
Pairing : JongTae (Jonghyun x Taemin du groupe Shinee)
Rating : R -en guise de pévention c: -
Disclaimer : Les Shinee ne m'appartiennent toujours pas -mais j'y arriverais un jour! *w*- mais l'histoire complètement et les autres personnages :3
Note de l'auteur: La vie d'un adolescent n'est pas simple, loin de là. Entre histoires d'amitiés, d'amours, joies, peines et bien d'autres évènements. La vie d'un pré-adulte est parsemé d'embûches comme celles-ci. Mais ce ne sont pas ces problèmes-là que Taemin endurent. C'est plutôt le fait que ces parents lui interdisent toute vie sociale et l'oblige à travailler nuit et jour. Toutefois, lors d'une soirée d'études, il va faire la connaissance d'un élève. Ce sera par cette rencontre que la vie de ce jeune homme sera chamboulée.
Après ces petites explications, je vous souhaites une bonne lecture et j'espère sincèrement que vous apprécierez :3
La première fois
Chapitre 1: La vérité en face
Pov TaeminApprendre….je suis bon qu’à apprendre. Ma vie se résume à des tonnes de livres, documentaires, dictionnaires ingérer depuis ma plus tendre enfance. Je n’ai pas le souvenir de la dernière fois où je me suis amusé, où j’ai ri tout bonnement. Mes parents m’ont éduqué tel un automate. S’ils m’ordonnent d’apprendre le dictionnaire d’une langue étrangère en trois jours, je le ferais car mes parents ont découvert lorsque j’étais un très jeune enfant, que j’avais la capacité d’apprendre n’importe quoi en très peu de temps. Alors, ils ont décidé de m’enlever tout objet et jouet pouvant être lié aux loisirs et aux divertissements. A cinq ans je savais déjà parler deux langues étrangères couramment et avais le niveau d’un élève de 11 ans moyens. Malheureusement, ce qui devait être un don c’est transformé en supplice, en un cauchemar. Mes deux tentatives de rebellions afin que mes géniteurs comprennent ce qu’ils me font faire, leur faire montrer ce que je ressens vraiment n’a aboutis à rien. Au contraire, lorsque je leur expliquais clairement qu’ils me faisaient courir à ma perte, ils m’enfermaient dans la cave à double tour me laissant dans la noirceur de la pièce la plus total. Du moins, j’avais tout de même deux trois rayons de soleil qui se reflétaient sur le mur afin de voir les formes basiques du sous-sol. Mes contestations étant un échec des plus cuisantes, je laissais tomber et les laissait me diriger comme un pantin. Je peux désormais reconnaitre sans ne pas y croire que je suis un esclave des temps modernes. Forcé contre son plein grès à travailler nuit et jour. De plus, ma vie sociale n’est point meilleure, bien au contraire. Travaillant d’arrache-pied, mes parents m’interdisent quelconques relation qu’elle soit amoureuse ou ne serait-ce qu’amicale. D’un autre côté, même si je voulais avoir un ami, il m’en serait impossible puisque je ne sais pas comment parler avec les personnes….Mes camarades de classe me haïssent mais je ne pourrais pas dire la raison puisque je ne la connais pas. Je peux bien évidemment penser, imaginer le pourquoi, mais ce ne sont que des hypothèses, il n’y a rien de concret.
Une journée de plus débute, je me lève mollement de mon lit qui est la seule « personne » avec qui je m’entends réellement. Je vais dans la salle de bain, me déshabille et laisse couler l’eau bouillante sur tout le long de mon corps. Cela m’apaise et me permet de commencer la journée en douceur et sereinement. Ce moment paisible terminée, je mets mon uniforme bleue marine et blanc et vais dans la cuisine pour manger le repas que la cuisinière m’a préparé. Comme chaque matin, je partage mon petit-déjeuner avec un fantôme. Mes parents sont déjà partis dans leur entreprise familiale que je devrais diriger à leur mort. Ce sont tous les deux les dirigeant d’une entreprise de voiture qui est la plus rependue de Séoul voir même à l’international. Lorsqu’ils ne m’engueulent pas ou me donne des ordres, je ne les vois pas et ce sont ces moments-là que je préfère. Mes tartines engloutis, je partis en direction du lycée. Personne ne me remarquait à mon arrivée, comme toujours. On m’a surnommé « le loup » puisque le mot qui est souvent suivi de celui-ci est « solitaire ». Je rentrais dans la classe et pris place à ma table.
La journée est passée assez vites, les évaluations étaient assez simples et j’en ai presque pris du plaisir à les faire. La sonnerie annonçant la fin des cours, je me dirigeais vers la salle d’étude ou personne n’était présent mis à part un élève qui avait l’air d’être plus âgé que moi. Je m’asseyais au fond de la salle et commençais les devoirs peu nombreux pour la semaine prochaine ayant pris de l’avance durant le week-end. Mon dernier exercice de japonais terminé, je sortis l’un de mes livres préférés afin de finir cette journée sur une bonne note. Toutefois, à peine avais-je commencé la première page que le garçon qui était assis à l’opposer de moi vint vers moi.
?: Bon…bonsoir…excuse-moi de te déranger en plein milieu de ton roman mais….-se gratte la tête-…est-ce que…enfin…est-ce que tu es bon en mathématiques ? Parce que j’ai vraiment du mal à faire un exercice et je voudrais savoir si tu voulais bien m’aider à trouver la solution? Bien évidemment si tu ne veux pas ne t’en fais pas ce n’est pas grave hein !
Moi : Oh….hum….je…o..oui..si tu veux…
?: Oh vraiment ?! Tu es sûr que je ne te dérange pas ?
Moi : N..non tu ne me dérange pas.
?: Merci infiniment !
Je le voyais tout sourire se diriger vers son bureau où était posé son livre de math. Il le ramena avec sa calculatrice en main, il posa son matériel et pris une chaise au hasard et s’assit dessus. Je lisais l’énoncé et lui expliquais de suite les calculs qu’il fallait qu’il fasse afin de résoudre le problème. Ca tête de merlan frit avec ses yeux écarquillés au maximum et ça bouche grande ouverte me fit rire. Il me faisait penser à un bébé dinosaure mais je m’enlevais de suite cette image mignonne de la tête. Je ne lui parlerais plus jamais alors à quoi bon m’imaginer ne serait-ce que de parler une demi-heure avec lui en guise de sujet une vie d’adolescent lambda. Mon petit tutorial terminé, je me remis correctement en place et replongea dans mon livre. Cependant, il ne devait peut-être pas l’entendre de cette oreille. Je le regardais un peu interloqué en lui faisant comprendre clairement pourquoi il ne retournait pas à ça place. Au lieu de m’attendre à une réponse, il se mit à s’esclaffer si bien que tout l’établissement aurait pu l’entendre hurler de rire. A cette vue, j’étais d’autant plus perturbé par cet étrange- mais beau- garçon.
?: Haha si tu verrais ta tête ! Tu me fais vraiment trop rire avec ta petite tête de bébé.
Moi: J…j’ai fait quoi ?
?: Ne t’en fais pas je ne me moque pas de toi. C’est juste que l’émotion que tu dégages me fait rire et ta tête mignonne n’arrange pas les choses. Et puis en voyant ta petite frimousse, je repensais aux réfections qu’ont les gens. Tout le monde croit que tu as un cœur de pierre si bien que les seules personnes avec qui tu peux parler est avec ton journal que tu trimballes tous les jours où tu écris on ne sait quoi dessus. Mais ce petit moment m’a bien fait comprendre et j’en sûr désormais sûr à cent pourcent que ce qu’ils pensent n’est autre que du vent.
Moi : Ah…c’est donc ça que les gens me perçoivent, quelqu’un d’insociable…
?: Non, enfin…eux pas moi c’est sûr ! Je…
Moi : -le coupe- Je le suis donc tu n’as pas à chercher une excuse….pour te dire, c’est la première fois de ma vie que quelqu’un me parle sans m’insulter…
?: Je suis désolé….ça doit être dur pour toi de ne pas pouvoir parler avec quelqu’un sur qui tu peux compter…
Moi : Je n’ai pas besoin de ta pitié…j’ai toujours été seul et ça ne changeras pas d’aussitôt.
?: Je suis pris de pitié non pas d’une manière péjorative à ton égard. Tu as l’air d’être quelqu’un de bien. A chaque fois que je te vois j’ai envie de te parler mais j’ai toujours eue peur de comment amorcer une discussion avec quelqu’un que je ne connais pas…
Attendez une minute…il a dit qu’il voulait me parler ? A moi ?
On discutait encore un moment à parler de tout et de n’importe quoi. J’ai appris qu’il s’appelait Jonghyun et qu’il était en dernière année. On se trouva des points en commun et il me donna son numéro de portable et je fis de même. Nous partions tous les deux à l’opposer du chemin de l’autre et nous nous quittions par un signe de la main. C’était la première fois de ma vie que ça m’arrivait. Quelqu’un avait daigné me parler et faire connaissance. Il m’a même donné son numéros et il voulait absolument le miens en retour. Mon premier numéro….Je rentrais joyeux pour la première fois chez moi et me dirigeais dans ma chambre pour m’allonger sur le dos en étoile sur mon lit en regardant le plafond de ma chambre. Etant resté jusqu’à 19h30 au lycée et n’ayant pas faim, je m’endormis tout habillé sur mes deux oreilles avec un petit sourire qui c’était formé juste avant de m’endormir.
Le lendemain lorsque je me suis levé, je me suis assis et restais un moment dans cette position. C’était l’une des seules fois où j’avais dormi d’un sommeil calme et réparateur. Je me tâtais un peu sur la question en me demandant si c’était dû à la rencontre avec Jonghyun mais c’est impossible. Je ne peux pas m’accrocher à une personne comme ça, c’est impossible. Voulant savoir l’heure, je pris mon portable qui était posé sur ma table de chevet et l’allumais. Mes yeux devinrent rond tout comme une balle de tennis, je n’arrivais pas à comprendre. Ce n’était pas l’horaire qui m’avait perturbé, mais le nombre de messages et d’appels manqué…. Après un long moment d’hésitation, je me décidais de lire les vingt messages que je n’avais pas lus. Je fus d’autant plus surpris lorsque je vis qu’ils provenaient tous de mon hyung, tout comme les appels en absence. Pourquoi voulait-il tant me parler ? Je commençais à lire ces messages et un sourire commençait à apparaitre
« Hey coucou Minnie ! », « Ça te dérange si je t’appelle Minnie ? », « Bon puisque tu ne réponds pas je vais prendre ça pour un oui ! », « Même s’il ne te plait pas ce sera désormais ton nouveau surnom », « Je trouve qu’il te va bien, tu ne trouves pas ? », « Si tu veux tu peux m’appeler Jjong ou bling bling ou hyung si tu préfères », « L’un des trois me convient et puis ça me ferait plaisir si tu m’appelles comme ça.», « Yah pourquoi tu ne réponds pas ? », « Tu travailles ? », « Bon bas en fait si tu dois bosser…. », « Ça te dirait qu’un jour on aille se boire quelque chose ou qu’on fasse une sortie entre pote tout simplement ? », « Allé Minnie répond moi…. », « Pourquoi tu n’es pas sur ton portable comme tout le monde…. ? », « Oh non je suis désolé oublie le dernier message je ne voulais pas te faire de mal ! », « Tu es fâché… ? », « Tu as mangé ? », « Fait pas de bêtises hein je veux te voir tout beau comme hier et en pleine forme ! », « Tu es sous la douche ? », « Tu fais quoi là tout de suite maintenant ? », « Bon il se fait tard je vais aller me coucher et fait de même ! Bonne nuit, gros poutoux et à demain Minnie chou ! »
Pourquoi…pourquoi il m’a envoyé tous ces messages et pourquoi est-il si gentil avec moi ? Tant de questions m’apparaissent….S’il fait ça pour que je l’aide dans d’autres matières il n’est pas obligé de faire ça. A moins qu’il veuille plus. Ça ne peut être que ça ! Mes parents m’ont toujours dit de faire attention aux gens qui m’entourent. Mais qu’est-ce que je raconte, j’ai perdu toute confiance en eux, tout l’amour que je leur portais et pourtant je crois à leurs belles paroles. Et puis, les messages qu’il m’a envoyés me réchauffent le cœur. Attendez mon cœur c’est réchauffé ? Comment est-ce possible ? Il ne s’est plus emballé comme ça depuis….depuis….depuis jamais. Comment fait-il pour me rendre presque gaie ? Ça doit être un magicien ou peut être un manipulateur….Cette dernière pensée me faisait mal, mais il se pourrait que ça soit le cas. Etant en pleine réflexion depuis je ne sais pas combien de temps, lorsque je regardais de nouveau l’heure cela me stoppa net, j’étais en retard ! Je fis une toilette de chat, m’habillais à toute vitesse, pris une pomme qui traînait sur le bord de la table, mis mes chaussures et courus jusqu’à mon lycée. Je ne me suis pas arrêté une seule fois jusqu’à ce que j’arrive dans ma classe. Lorsque je rentrais à l’intérieur, les personnes présentes se moquaient de moi, je ne tiltais pas de suite jusqu’à ce qu’une fille gueule « Haha à la gueule ! Regardez la dégaine qu’il a ! Et bas alors on a fait quoi toute la nuit pour arriver à ressembler à un clochard ?! ». Tout le monde se mit à s’esclaffer, je ne compris pas de suite ça remarque jusqu’à ce que je me voie dans le reflet de la fenêtre. Ma chemise était à moitié boutonnée et de plus elle pendait puisque je l’avais mise à moitié à l’intérieur de mon pantalon. La braguette de mon pantalon était ouverte, mes chaussures étaient à peine lassées et mes cheveux étaient tout bonnement pas coiffé, en pétard, ça partait dans tous les sens. Mais je ne pus arranger ma tenue puisque le professeur arrivait. Pendant le cours, je ne faisais plus attention à mon accoutrement mais les autres si. Ils ne faisaient que de se moquer et d’inventer des raisons du pourquoi je suis arrivé de cette sorte.
Les cours de la matinée terminées, je partis en direction du toit pour pouvoir manger seul et pour pouvoir m’habiller plus convenablement. Cependant sur le chemin, quatre gars m’encerclèrent et me projetèrent contre les casiers. Je retins un gémissement de douleurs et l’un de la petite bande me prit par le col et me soulevait un peu me faisant frôler le sol avec mes pieds.
?: Bon écoute moi bien je ne vais pas y aller par quatre chemins. Puisque tu as les meilleurs notes de l’établissement et que tu es loin d’être con tu feras nos devoirs sans rechigner ok ?!
Moi : Je…je…lâche moi !
?: Non je ne te lâcherais pas ! T’as bien compris la tapette, tu fais nos devoirs sinon on va te faire faire une petite visite de l’hôpital et ça ne sera pas en tant que visiteur si tu vois ce que je veux dire.
Moi: Bordel…mais….lai…laisse-moi…tu m’ét…ouffes….
?: Répond moi ! T’as bien compris le message ?!
Moi : Pe…peu..plus res…pi…rer…
?: Hey laissez-le ! Courrez tant que vous le pouvez bande de connard !
S’entend les mains de l’élève s’en aller, je laisse mon corps descendre le long des casiers et me couche au sol sur le côté gauche afin de faire ventiler de nouveau l’air qui me manque dû à la petite agression. Toutefois je ne reste allonger que quelques secondes puisque quelqu’un me porte sur son épaule. Je n’arrive pas à savoir où est-ce que cette personne m’emmène jusqu’à ce que j’aperçoive le sol en béton et sente l’air frais. Il me pose à l’abri du soleil contre le béton froid d’un petit muret. Je ferme les yeux un instant et me concentre sur ma respiration. Les minutes passent et ma respiration redevient stable.
Pendant tout ce temps, la personne qui m’avait « secouru » était près de moi m’avait pris la main et me caressa le dessus à l’aide de son pouce afin de m’apaiser, ce qui fonctionnait assez bien. Mon calme revenu, je rouvris les yeux doucement et tournais ma tête et je le vis. Ce n’était pas possible pourquoi m’a-t-il aidé ? Il me sourit à pleine dents et s’accroupis un peu afin de me saluer. Je fis de même et lorsque son visage n’était plus dans mon champ de vision c’était sa main qui l’était. Nos mains se touchaient et nos doigts étaient entrelacés entre elles. La sienne fit une petite pression ce qui me fit paniquer et j’interrompais de suite ce petit moment de douceur. Je joignis les mains et les positionnaient près de mon cœur. Personne ne m’avait touché pas même mes parents. Je n’étais pas habitué à ce genre de tendresse et d’attention. Mes joues se mirent d’elles-mêmes à rougirent et je cachais mon visage le plus possible afin qu’il ne me voit pas.
Il doit sûrement me prendre pour un malade. Il m’aide et moi je fais quoi pour le remercier ? Je me morfonds dans ma carapace sans même lui adresser une parole. Je suis vraiment pitoyable, pas étonnant que personne n’est le moindre sentiment à mon égard. Mais il y a tout de même un détail qu’il ne faut pas oublier, mes parents ne veulent pas que me lie d’amitié avec quelqu’un ce qui m’attriste d’autant plus. Pourtant, malgré que je le fuis sans le vouloir, je le sens se rapprocher de moi et se coller un peu à mon corps frêle. Instinctivement je me décale de quelques centimètres ce qui doit l’étonner et le stoppe de suite dans ses mouvements.
Jonghyun : Pourquoi agis-tu de cette façon ?
Moi : Quelle façon ?
Jonghyun : Ne te moques pas de moi Taemin. Tu sais très bien de quoi je parle.
Moi: J’ai toujours été quelqu’un de solitaire et de savoir que quelqu’un essais de se rapprocher de moi m’effraye…
Jonghyun : Tu n’as pas à avoir peur de moi. Je ne te veux aucun mal.
Moi : -se parle pour lui-même- C’est bien ça le pire…
Jonghyun : Tu viens de dire quoi ?
Moi : Non rien…Ecoute, je le sens que tu es quelqu’un de bien mais…notre amitié est impossible et j’en suis désolé.
Ma phrase de suite terminée, je m’en allais le plus rapidement possible pour me retrouver seul. M’approchant de la porte à grands pas, je la tirais vers moi mais c’était sans compter sur le caractère têtu de mon hyung. Il m’avait attrapé mon poignet et me fit pivoter vers son corps dont je me retrouvais collé à lui. Il m’enlaçait….attendez…quoi ?! Mes bras restèrent le long de mon corps quant aux siens, il les avait mises sur mon dos qu’il caressait lentement. Mes yeux étaient ouverts en grand, je n’arrivais pas à croire ce qui se passait. Mon cœur se mit à s’affoler, mes mains devinrent moites, mon corps était parcouru de faible tremblement, ma respiration devenait courte. Pourtant, cela ne me déplaisait pas des moindres. Au contraire, j’appréciais ce contact.
Sentir son corps contre le mien, sentir son souffle chaud chatouiller ma nuque, sentir ses bras muscler se resserrer contre ma petite personne. Me sentir soutenu réussit à me faire ressortir un sentiment qui met jusqu’à présent inconnu. Cela me fait parvenir une larme, puis deux qui sont suivi par un flot de gouttelettes salées qui viennent se fondre dans le tissu de Jonghyun. Je n’arrive pas à me contrôler. Personne n’avait réussi jusque-là à briser la carapace que je mettais forgée afin de ne pas décevoir mes parents et surtout…de devoir me séparer de mes amis, je ne serais pas assez fort pour le surmonter. Je l’imite donc et enlace mes bras autour de son corps. C’est vraiment curieux…mais pas désagréable. Je me mets à pleurer de plus bel et renifle d’une manière peu chic. En l’entendant, je le sens esquisser un sourire et rapprocher sa bouche dans le creux de mon oreille « Je ne te connais pas très bien et encore moins la raison pour laquelle tu ne veux pas que l’on s’approche de toi. Sache une chose, les autres ont peut-être abandonné voir n’ont rien fait pour te connaitre mais je ne suis pas comme tout le monde. Je ne te laisserais pas tombé et je ferais tout ce qui est en mon possible pour que tu réussisses à avoir confiance en toi et pour que tu t’ouvres aux autres mais j’espère que tu le feras surtout envers moi. Est confiance en moi Taemin, je serais toujours près de toi. ». Cette parole m’a complètement bouleversé et mes pleures se sont accentués. C’est le seul qui veuille de moi en tant qu’ami, je ne veux pas le décevoir….je ne le ferais pas…
Voilà, merci beaucoup pour l'avoir lut! ^O^
(Si vous voulez savoir la raison pour laquelle je poste ma fic' ici alors qu'elle est déjà présente sur un autre site. La raison est tout simplement car "l'ambiance" qu'il y a sur ce site est un peu mortuaire....après ce n'est que mon point de vue! :xAlors qu'ici ben...ça sent la joie de vivre et ça me manquait terriblement...je vais essayer d'être de nouveau présente -un peu plus activement- même si, étant en terminale, l'année est plutôt....lourde de travail :3 )